Master of Command polit ses boutons dorés !
Déjà 2 patchs d'amélioration pour Master of Command !
Depuis la sortie très remarquée de Master of Command le 27 octobre dernier, le STR consacré à la guerre de Sept Ans, les équipes d’Armchair History n’ont pas chômé.
Attentives aux retours des joueurs et passionnées par leur sujet, elles ont déjà publié deux patchs d’amélioration visant à peaufiner un titre salué pour sa rigueur historique et sa profondeur tactique.
Premier chantier : l’artillerie. Si sa puissance de feu impressionnait à la sortie, beaucoup de joueurs estimaient que son impact sur le champ de bataille frôlait parfois l’excès. Les développeurs ont donc revu la modélisation balistique et les effets de saturation, afin de rendre les échanges d’artillerie plus crédibles et mieux équilibrés. Le résultat ? Des combats plus longs, plus tactiques, où la manœuvre redevient essentielle.
Autre point de satisfaction pour la communauté : l’intelligence artificielle a été retravaillée pour offrir des opposants plus réactifs et audacieux. L’IA n’hésite plus à exploiter les failles dans les lignes, à feinter des retraites ou à concentrer ses forces sur des points vitaux. De quoi redonner du piment aux campagnes, notamment en difficulté élevée.
Les patchs apportent également de nouvelles cartes, inspirées de batailles historiques moins connues, ainsi que de nombreuses corrections d’interface, de pathfinding et d’équilibrage. Armchair History promet d’ailleurs que ce n’est qu’un début : d’autres ajustements et contenus sont déjà en préparation, notamment du côté du multijoueur.
Beaucoup comparent Master of Command à un Napoleon: Total War de la guerre en dentelles mais en plus réaliste, plus détaillé et surtout plus exigeant. Le jeu restitue avec brio la subtilité des affrontements du XVIIIème siècle, époque où la discipline, la ligne de feu et la logistique faisaient la différence bien plus que le nombre brut.
Avec ces deux premiers patchs rigoureux, Master of Command confirme qu’il est bien plus qu’une curiosité pour amateurs d’histoire. Mangez en !
 
