Les 3 meilleurs jeux sur la seconde guerre mondiale
De part le nombre de théâtres d'opération, de troupes et de diversité de matériels engagés, la seconde guerre mondiale est une source d’inspiration illimitée pour les studios de jeux vidéo. Gamesplanet vous propose ici 3 titres parmi les meilleurs sur le sujet, tous affublés d’un Steam rating de héros de guerre !
La médaille d’honneur du STR !
- Compagnie of heroes : un jeu culte au souffle épique qui a repoussé en 2006 les limites du STR avec son moteur maison et son IA en avance sur son temps. La sortie du troisième épisode en novembre prochain est attendue comme une pastille d’iode à Hiroshima. 91% Steam Rating !
Chasse aux nazis avec de gros fusils
- Wolfstein the new order : Esthétique, punchy, construit sur un scénario à la fois surprenant et solide, ce Wolfenstein est sans doute l’un des meilleurs de la franchise pour dégommer du nazi psychopathe (avec une mention spéciale pour Frau Engel et le général Deathshead ). La seconde guerre mondiale y est totalement digérée et… recrachée totalement réinventée. L’un des tous meilleurs FPS Solo ! 89% Steam Rating !
Le Colonel moutarde à Omaha Beach
- Steel Division Normandy 44 : Le front ouest de la seconde guerre mondiale fidèlement modélisée et le seul jeu à vous mettre dans les bottes impeccablement cirées d’un Colonel à la tête de toutes ses unités. Immersion historique parfaite, due au gros travail de recherche des développeurs, système de ligne de front innovant, ce STR demande un peu d’effort pour en maitriser toute la complexité et la richesse et garantir des heures et des heures de pur plaisir ! Une expérience vertigineuse du front Est est proposée à part dans Steel Division 2. 76% Steam rating.
En challenger de ce classement, on citera le très complet et très prenant Hearts of Iron 4 qui vous permettra de revivre le conflit dans sa globalité en vous donnant la possibilité de réécrire entièrement l’histoire de la seconde guerre mondiale à votre sauce.
Omaha Beach lors du débarquement en Normandie, France. 6 juin 1944. Photographie (floue et pour cause) de Robert Capa